Culture

الجمعة، 28 نوفمبر 2014

Etes-vous prête à être mère ?



Avoir un bébé, vous y pensez parfois avec envie, parfois avecangoisse. Eh oui, être mère, vous vous y préparez doucement mais à bien y réfléchir, ce sujet vous emplit de doutes et de questions. C'est normal ! Car devenir parent transforme complètement la vie.

Etes-vous prête ou presque prête à vivre ce bouleversement ? Faites le point en 20 questions et découvrez si être mamanest pour vous une évidence, une idée floue ou encore si vraiment, ce n'est pas le moment pour vous.

Non, faire l'amour en voiture n'est pas mission impossible


L’escapade coquine en voiture est un fantasme courant, pour ne pas dire banal. Par nécessité, par hasard ou par pulsion du moment, s’abandonner à son partenaire dans une auto promet une explosion des sens. Nos conseils pour passer un moment inoubliable sur la banquette arrière.

Pourquoi faire l’amour dans une voiture ?

Besoin de changement, envie de pimenter une sexualité endormie, goût du frisson… Faire l’amour en voiture est un fantasme facile à réaliser, à condition d’avoir une voiture sous la main bien sûr ! Dans l’habitacle on se sent comme dans une bulle, une cachette qui met une distance avec le monde extérieur mais ne nous protège pas tout à fait des regards des curieux alentours. Certains psychiatres décrivent même la voiture comme un prolongement du phallus, pas étonnant que le désir se fasse vite ressentir.

Comment faire l’amour dans une voiture ?

1. Voiture de taille correcte exigée
On oublie la Smart, à moins de posséder des talents cachés de contorsionniste. Le plus "confortable" : la banquette arrière. Les positions sont limitées, mais dans le feu de l’action, on parvient toujours à trouver une solution.

2. Sur la banquette arrière
Lui, assis au bord de la banquette et vous qui l’enlacez à califourchon. La buée ne devrait pas tarder à se dessiner sur les vitres.

3. Une variante
Lui, toujours assis au bord de la banquette et vous, assise dos à lui. Il profite d’une vue imprenable sur vos courbes et vous pouvez prendre appui sur les sièges avant.

4. Pour les moins douillets
Face à face, il est à genou sur le plancher pendant que vous vous tenez assise sur la banquette les jambes relevées sur les fauteuils avant. Attention le frottement avec les tapis antidérapants peut laisser de vilaines traces sur les genoux de votre partenaire.

5. Et le capot ?
Si le ciel et la température sont cléments, on peut même envisager de s’ébattre sur le capot, à condition d’être dans un endroit peu fréquenté !

6. La tenue adéquate
​Bien sûr, cette parenthèse torride n’est pas toujours prévue au programme, c’est même cette spontanéité qui la rend d’autant plus appréciable. Néanmoins, si l’on a déjà en tête cette escapade coquine, on choisit des vêtements appropriés. Les tissus qui froissent, collants, pantalons trop serrés et autres tops qui s’attachent dans le dos sont à proscrire ! Le plus simple : une robe ou une jupe, sans rien en-dessous pour les plus extraverties.
Faire l'amour dans une voiture

Faire l’amour dans une voiture : les +

- La liberté, les mains baladeuses, les corps qui se frôlent et qui se cherchent, on retrouve la fraîcheur de ses premiers ébats.
- Le changement qui titille et la complicité qui s’installe. L’excitation monte dès les premières caresses.
- Le désir qui se fait rapidement sentir et le plaisir qui arrive tout aussi vite tant les deux corps sont échauffés et enivrés par le lieu, l’atmosphère et la vie qui continue autour.

Faire l’amour dans une voiture : les –

- On attend d’être à l’arrêt bien sûr. Pour s’émousser, on commence par se masturber mutuellement, mais on s’arrête vite sur le bas-côté pour éviter l’accident bête.
- Attention à ne pas se froisser une partie du corps lors d’un faux-mouvement pendant une position acrobatique !
- On n’oublie pas l’article 222-32 du Code Pénal : "L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an  d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende." On reste discret

الجمعة، 21 نوفمبر 2014

IGGY AZALEA : ELLE RÉPOND À LA MENACE DE VIOL D’EMINEM


Dans son dernier titre, Eminem s’en prenait violemment à Iggy Alazea et déclarait vouloir violer la jolie blonde. Mais la chanteuse de « Fancy » n’est pas du genre à se laisser insulter sans rien dire, et a répondu en le traitant de « vieillard ». 
 « S*****, ferme-la et monte dans ma caisse. Et suce ma p*** de b***. Qu’est-ce que ça va donner ? Emmène ta merde loin de moi Iggy. Tu ne veux pas me mettre ce viol sur le dos. Crie ! J’adore ça. Jusqu’à ce que je perde le contrôle en jouissant".
Le rappeur aurait-il une dent contre les stars féminines ? Après avoir voulu asséner « deux coup de poing » à Lana Del Rey dans un freestyle sauvage, c’est sur ces belles paroles adressées à Iggyque le rappeur déclenche une nouvelle polémique. Alors que le public crie au scandale, la jeune femme, piquée au vif, a répondu en déplorant la misogynie dont faisait part Eminem.
Elle tweete « Je suis fatiguée de ces vieillards qui menacent les jeunes femmes pour faire parler d’eux » et ajoute « Tout ça est d'autant plus bizarre que mon frère de 14 ans est le plus grand fan d'Eminem. Maintenant, cet artiste qu'il admire tant raconte qu'il veut me violer ».
La guerre est déclarée entre les deux artistes ! Et Iggy touche un point sensible, alors qu'Eminem a fêté ses 42 ans cette année, la jeune Australienne de 24 ans est elle en pleine forme, et c’est déjà une habituée des clashs ! Elle était déjà montée aux créneaux avec Snoop Dogg qui a finalement présenté ses excuses à la chanteuse dans une vidéo. 

Source : trace.tv 

الخميس، 20 نوفمبر 2014

Pourquoi l’amour dure trois ans




Tant pis pour les romantiques ! Selon les lois de la biologie, l’amour est un processus chimique de courte durée. Dans son dernier ouvrage, Petits Arrangements avec l’amour, Lucy Vincent, neurobiologiste, explique comment chacun de nous peut s’en accommoder… et prolonger la vie de son couple.
Stanilas de Haldat

Docteur en neurosciences et chercheur au CNRS, Lucy Vincent est aussi l’auteur de Comment devient-on amoureux ? (Odile Jacob, 2004). Un ouvrage iconoclaste et abondamment commenté, dans lequel elle détaille la mécanique biologique du coup de foudre. Elle poursuit aujourd’hui ses recherches sur la programmation génétique des rapports humains.
Psychologies : Vous dites que l’amour n’est pas un cadeau du ciel, mais un mécanisme du cerveau vieux comme l’humanité. Aujourd’hui, sommes-nous toujours marqués par ce schéma amoureux ?
Lucy Vincent : Oui, car ce mécanisme est ancré dans nos gènes, c’est un programme génétique. Le comportement amoureux est né, chez l’homme, de la nécessité d’assurer la reproduction de l’espèce. Dans un monde où seuls les plus forts survivaient, il fallait protéger les bébés. Pour survivre, l’enfant a besoin de deux parents. Car un parent tout seul ne peut à la fois le surveiller, l’abriter, aller chercher à manger et se défendre contre les prédateurs. Or, le seul phénomène qui puisse obliger les deux parents à rester unis est l’amour. C’est un processus par lequel deux adultes, mâle et femelle – aujourd’hui, ce pourrait être deux mâles ou deux femelles, l’homosexualité entre tout à fait dans mon discours –, se trouvent merveilleux. Non seulement au point de vouloir rester ensemble, mais aussi d’être mal quand ils sont séparés. L’alchimie cérébrale qui se produit alors crée une addiction et les rend aveugles aux défauts de l’un ou l’autre : elle leur permet de rester ensemble pour la survie de l’enfant.
Mais comment ce programme génétique commun peut-il pousser tel homme vers telle femme, et inversement ?
On pense qu’il existe des facteurs de complémentarité que notre cerveau cherche inconsciemment chez l’autre. Le rôle des odeurs a été mis en évidence. Elles traduisent des informations génétiques concernant le système immunitaire. Le raisonnement est le suivant : si j’ai un système immunitaire qui me protège de tels germes et mon partenaire un système immunitaire qui le protège de tels autres germes, notre enfant disposera d’une vaste gamme de défenses immunitaires. Mais si je prends quelqu’un qui a le même système que moi, mon enfant sera plus faible. Des expériences ont montré qu’un individu préfère quelqu’un qui a un système immunitaire très différent du sien. Les odeurs nous aident donc inconsciemment à choisir notre futur partenaire.

Existe-t-il d’autres signaux qui guident nos choix ?

Oui, mais pour les comprendre, il faut se remettre dans l’environnement sauvage dans lequel l’homme a évolué. La femme, biologiquement, c’est un ovule par mois. Quand cet ovule est fertilisé, elle doit consacrer neuf mois à produire l’enfant. Elle doit manger plus, elle est moins mobile, elle devra ensuite allaiter. En contrepartie de cet investissement, elle sait que son enfant porte ses gènes et les transmet à la génération suivante. Pour l’homme, c’est différent. Il produit des millions de spermatozoïdes tous les jours, et son seul rôle biologique dans la procréation consiste à utiliser un spermatozoïde pour fertiliser un ovule.
En contrepartie, il ne peut jamais être certain que l’enfant qui naît est bien le sien. Alors, il a cette espèce de doute existentiel en se demandant si ses gènes passent à la génération suivante. Ces différences biologiques entraînent des comportements différents. Parce que c’est très facile à trouver, la femme ne va pas spécialement chercher un spermatozoïde. Mais elle va chercher un partenaire capable d’un investissement matériel. Elle se dit : « Puisque c’est moi qui fais tout le travail biologique, il me faut quelqu’un qui puisse me ramener à manger et me protéger des prédateurs. » Elle va donc chercher un homme qui possède tous les signes de force : un taux de testostérone élevé, des muscles et des ressources matérielles. Un homme, lui, va chercher une femme dont il est sûr que l’enfant qu’elle portera sera de lui.
L’homme veut-il une femme fertile ou fidèle ?
Les deux. Mais d’abord fertile. Pour lui, ce n’est pas la peine d’aller avec une femme qui ne pourra pas lui donner d’enfant. Il cherchera chez elle tous les critères de beauté féminins qui sont, en réalité, des critères de fertilité : cheveux épais, peau très lisse, yeux brillants, lèvres pulpeuses…
Cette programmation génétique ne s’est-elle pas modifiée avec l’évolution ?
Si, bien sûr, notamment avec l’allongement de la durée de vie et, surtout, la contraception. Aujourd’hui, la femme peut contrôler ses grossesses et n’a donc plus besoin de choisir un homme fort ou riche. Si elle travaille, elle peut le vouloir plus maternel, apte à s’occuper des enfants. Petit à petit, les hommes qui n’ont que de la testostérone à proposer vont disparaître du marché. A ce moment-là, nos gènes changeront. On dit que vingt générations suffisent à modifier le génome d’une espèce au point de créer une nouvelle espèce. Il se peut que nous soyons en train de subir des modifications. N’empêche qu’aujourd’hui encore, une femme qui veut mener une carrière et avoir un compagnon qui s’occupe des enfants reste d’abord attirée par un homme qui possède de gros muscles. C’est une attraction première, qu’elle peut tempérer ensuite par le raisonnement. C’est tout l’art de gérer une histoire d’amour !

Vous dites aussi que l’alchimie amoureuse de la rencontre ne dure guère plus de trois ans…

La programmation génétique du comportement amoureux modifie l’activité dans certaines zones du cerveau. Ces zones vont peu à peu se désensibiliser, même si des mécanismes hormonaux, comme ceux de l’ocytocine, tempèrent le processus. Progressivement, l’activité du cerveau reprend son cours normal, débarrassée de l’excitation de la période amoureuse. Cette désensibilisation intervient quand l’enfant est capable de se débrouiller tout seul, vers 3 ans. C’est son cap de viabilité, où il peut commencer à se lever, à chasser quelque chose qui le gêne ou à attraper un fruit. Dès lors, un seul parent peut suffire. Pourquoi forcer deux parents à rester ensemble s’ils ne sont plus nécessaires à l’évolution ? L’évolution se fiche de notre bonheur après la reproduction !
Mais alors, pourquoi certains couples tiennent-ils dans le temps ? Leur cerveau n’est donc jamais désensibilisé ?
Si, il y a une certaine désensibilisation. Mais il y a aussi une aide biologique à la durée du couple. Même quand les récepteurs d’endomorphine sont désensibilisés, qu’ils n’induisent plus la dépendance de l’un à l’autre, il reste l’ocytocine. Quand un couple s’embrasse, se caresse, quand il fait l’amour, ou même quand il bavarde tranquillement autour d’un dîner, il y a libération d’ocytocine. Et l’ocytocine induit un sentiment de bien-être. Elle stimule le système immunitaire, elle ralentit le cœur, elle met le corps en situation d’apaisement. Les couples qui gardent ces comportements amoureux peuvent durer plus longtemps. Ils ne sont plus dans la dépendance, mais dans le bien-être.
Expliquer l’amour par la chimie, c’est tuer une solide idée romantique…
Nous avons trop été élevés dans la culture des contes de fées. Le conte dit : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. » Il ne dit jamais : « Ils vécurent heureux trois ans, puis c’est devenu plus difficile. » Du coup, quand ces trois années sont passées et que le cerveau reprend son activité normale, on regarde son partenaire et on se dit : « Mince ! Il a plein d’habitudes qui ne me plaisent pas. Pourquoi l’ai-je choisi ? Ce n’est pas le bon ! » Mais si on sait comment ça marche, on peut se dire : « On est arrivés à un stade où le cerveau est revenu à une activité normale, alors comment envisager la suite de l’histoire ? »

Comment l’envisager justement ?

Quand on démarre une histoire d’amour, parallèlement au processus chimique, il existe dans le couple une deuxième voie d’échanges, par la parole. Ces échanges-là impliquent d’autres parties du cerveau qui ne sont pas nécessairement endormies par l’amour. Si on se donne la peine de sonder l’autre, on peut s’enrichir d’informations concernant sa vie intellectuelle. Des études montrent une différence de qualité des échanges entre les couples qui vont durer et ceux qui ne franchiront pas le cap fatidique des trois ans. Les femmes qui disent de leur partenaire : « Il est génial », sans pouvoir donner des détails du genre : « Il fait des spaghettis à merveille, il connaît tout Woody Allen, c’est un fan de Tintin » etc., n’auront pas un couple qui dure.
Les couples qui durent sont, au contraire, ceux qui peuvent s’expliquer en détail en quoi l’un et l’autre sont merveilleux. Cette précision des informations est de bon augure pour la suite. Lors d’une expérience faite avec des couples formés depuis dix ans, on a demandé aux gens de décrire leurs partenaires. Les personnes satisfaites le voyaient toujours mieux qu’il n’était et que ses amis ne le jugeaient. Grâce aux échanges intellectuels, une modification du cerveau s’opère sur le long terme en faveur du partenaire.
Rien ne serait donc affaire de volonté ?
On ne peut pas décider de tomber amoureux. Mais on peut décider, dès le début, que l’on va interroger son partenaire, au lieu de se laisser aller à tout trouver fantastique sans regarder les points de désaccords qui gâcheraient le plaisir. Il faut savoir rester lucide, car l’amour n’est pas entièrement programmé. C’est une chose étrange, hybride, qui inclut également notre expérience individuelle. Au-delà de notre programmation d’origine, nous sommes devenus des êtres humains.



Source : psychologies.com

الأربعاء، 19 نوفمبر 2014

5 Places Where A Person Should Speak Truth Alone


Truth-telling is the most rewarding virtue in our life but remains an ever-challenging affair. It needs courage and determination to practice. It has nothing to fear as it doesn't hide anything. It never seeks to remember the past, either. As such, it enables a person to lead a humble and open life. Many great scholars and leaders cherish the honesty as his or her life. 'Honesty' and 'Truth' are more related words that can be used interchangeably. Nowadays, speaking the truth in public places is branded as Foolishness, Out-of-fashion and Orthodoxy. Nevertheless, there are five places in our life that warrant truth alone.
Home: This is the first place where a person picks up the good habit of speaking truth. The elders should set an example for this to flourish. Everything is shared and consulted in a family without any inhibition or selfishness. Each member speaks nothing but the truth only. A happy and peaceful family definitely has this trait as one of their secrets. Naturally the societies comprising such households make a successful country.
Places of Learning: Whatever be the level of learning a person should never hesitate to speak the truth for the benefit of self: if not for others. Study places such as school, college, etc., are on par with places of worship as they guide human beings. Unless one learns the value of truth in the formative stages, he/she fails to understand the meaning of life itself.
Places of Worship: Whatever be the religion, one should speak the truth and pray with an open mind in a place of worship. Otherwise, it will be nagging throughout the life. Christianity has a distinct system of 'Confess and Seek Apology', to make a person tell the truth voluntarily. All Gods will be pleased to hear the truth alone. Perhaps, one may try to outsmart God by donning double roles: praying one thing and doing the opposite. However, the mills of God grind slow but steady. The impact of bluffing before God is felt badly in the twilight years of one's life.
Places of Health Care: Always discuss the actual problems and sufferings to the doctor in a health centre. Lest, the diagnosis and treatment will go wrong leading to further complications affecting the patient. Such acts of omission also jeopardise the claims for insurance.
Places of Law: An oath of Telling-truth is administered in any court of law. This procedure impresses upon a person to present and declare the facts and truth only. Moreover, it makes the judicial process easy and meaningful for taking a holistic and unbiased view. Further, the adjudication becomes faster as there will be no going-back or denial of the statements recorded earlier. Likewise, one shall apprise the lawyer with the truths for litigation to succeed. Similarly, a person should tell the facts and truths to the police investigating the case.
Truth makes our life easy and simple. People worship honest people wherever and forever. Mahatma Gandhi, Father of India, practised it as a virtue of life. In fact, he authored an autobiography titled 'My Experiments With Truth.'
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Article Source: http://EzineArticles.com/?expert=Mohan_Thulasingam


Article Source: http://EzineArticles.com/8812465